Morts en insistance Le temps est à l’été Peurs à demi ourdies Encore un souffle L’embellie vient Faites attention Suivez la bien La vie s’écoule Elle fuit elle roule D’appris de moules Elle nuit elle foule La nuit au vent L’impertinent De l’aliment La tête en l’air De tant de terres L’éther a noirci Trop Sereine Reine Gueuse Enjôleuse La nuit s’étire Il faut dormir
Vivants sanguinolents
Ancré dans l’indolence
Attends la nuit d’avant
Epanoui ombré
Riches en états d’âme
Les objets te réclament
Lune pleine du vendredi
La fraîcheur au soir déclame
Tes frilosités de flamme
Et c’est la nuit
Noyée d’ennui
Et de folie
Tends-lui la perche
Revient de loin
Tout près de derche
Pauvres lampions
Rangés de fête
Baissés de tête
Faites le lien
Elle est raison
De vos chansons
D’agitations en foires
L’œil éclaté de moire
Luit des caches espoir
Ainsi
De liens en délires
Impie
Au chant de tes lyres
Acquis
Au sang du zéphyr
L’ami
Du tiens repentir
Vrombit
Des silences du voir
Blotti
Dans ton cœur entonnoir
Jouit
Que Nature laisse choir
Il dit
D’aboiements à la lune
Il crie
Paroles importunes
S’audit
En y cherchant fortune
D’un bleu dur accompli
Quand le faire a pâli
D’embûches
A pourvoir
GDB 26.07.9121h30 La Mine