Le silence pesant
De fin d’après-midi
Chaleur sans vent
Sur la tête appuient
Les marches caracolent
Encore quelques oiseaux piaillent
L’étau du soir aux tropiques
Se resserre
Bel étau
Que tu vénères
Il ne sert que le temps
Pour dire comme il est lent
Quand il t’accepte
Et que tu le prends
N’est-ce que concept
Où thème épique
Laisse le rideau bouger
Au gré du vent
Que si tu ne l’entends pas
L’absolu de sa loi
Dépasse les fois
Penser
N’est pas jacter
Beaucoup
De faux gourous
Pardon
Aucun n’est vrai
S’appuient sur la naïveté
Mais
La pensée plurielle
Est un acte de survie
Respecter chaque acte
De la nature qui bouge
T’amènes au substrat
De la pensée critique
A ce stade tu sais qu’on va te demander quelles sont tes souffrances
Qui es-tu pour formuler de telles affirmations
Qui as-tu lu
Quelle est ta culture
Cela ne les regarde pas
Tu n’es pas
Pour parodier un grand ami
Un agouti de l’année
Il ne s’agit que de l’interdiction du perçu et du réalisé, sachant que ce dernier, pour quelques-uns passe au filtre de l’éventualité de la création, ce qui est imbécile, car le réalisé est de toutes façons création.
Tu vois bien à quel point tes élucubrations passées au filtre des « spécialités » pourront paraitre, voire être condamnées, comme naïves.
Nous sommes à l’intersection.
Tu seras par tes pairs considéré on vient de le dire comme naïf ou schizophrène ou bien tu seras entendu et l’on pourra commencer à chercher la césure du temps.
Il ne s’agit pas de dire qu’il ne passe pas ou qu’on peut le prolonger ou l’arrêter, mais de comprendre qu’il n’est pas linéaire dans la perception humaine.
GDB Mitirapa 26 avril 2013- 17h00
D’accord avec la conclusion.
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