Balayés par le vent
Un long filet d’écume
Te fait suivre des yeux
La barrière de corail
Une fine épaisseur
De bleu plus profond
Pour ne pas oublier
L’infini Pacifique
Perclus de blancs et gris
Aucune aspérité
Airs et eaux fluides
Plus près quelques nuages
En strass de gris bleu
Clapotis du lagon
De sable mordoré
Au loin le grondement
Des vagues sur le tombant
L’heure est-elle à l’éveil
Des vapeurs nostalgiques
Le temps suspend le temps
Des vents en mouvement
D’instants le ciel se fend
De quelques dégradés
En camaïeux de verts
Gourds de limpidité
Serait-il difficile
De prendre la mesure
De toute la démesure
De l’Océan fissile
Sternes et aigrettes
Chassent le vivant
Dans l’eau transparente
Du bord de plage
Dans la transparence de l’eau
Se délectent les coraux
Sur fond de sable blanc
Les puraus
Jettent leurs ombres
Quand le soleil paraît
Sur l’eau scintillante
Les cocotiers aussi
Penchés sur le lagon
Font part de leur tristesse
Et de leur allégresse
Un bateau dans la passe
Un surfeur sur la lame
L’instant est au présent
Il ne sait rien faire d’autre
Haapiti 08 mars 2021 12h
Toujours plein de couleurs …. j’imagine la plage … plutôt que la photo de neige jointe au texte !
Haapiti …. la semaine dernière je recevais un message et photos de l’hôtel des Tipaniers …
Je commence sérieusement à envisager de partir pour la Polynésie … projet toujours remis depuis mon désistement en 2002 pour le poste de proviseur du lycée de Wallis….
Merci de me faire partager tes poèmes
Bises à vous deux
Geneviève
Toujours aussi clair, aussi musical, bref aussi poétique. Un peu long cependant.
J Nutr 2006; 136 1 94 99 order priligy online Inclusion criteria were as follows i post menopausal patients with clinical stage I or II breast cancer; ii patients treated with breast conserving surgery; iii tumors were estrogen and or progesterone receptor positive; iv patients who received postoperative RT for the affected breast at a total median dose of 50 Gy in 2 Gy fractions or 63