Latente au loin la symphonie
Volante trace l’infini
Parsemé des élans de cœur
Vivante des amours qui meurent
Où qui n’ont pas encore fini
D’éteindre leurs langueurs meurtries
Chaque étoile en a souri
Ravie perdue des galaxies
Parce qu’elle est sûre de son oubli
Fixé de brume dans l’œil qui luit
Elle meurt d’amour de l’infini
Elle sait qu’il faut aimer la vie
Comme elle pauvre être d’absolu
Qui fond aux soleils révolus
Tu n’as guerre à déifier
Que tes années à consumer
GDB 12.04.87