Avec la puissance du paysage
Revient celle de la musique
Que vient faire Beethoven
En Polynésie
Tu es de parti pris
L’oreille
Fonctionne mieux avec l’œil
Divine espace
Que créent les cordes du violon
L’objet n’est qu’un prolongement
De l’humaine qui l’arrime
Cette musique arrête
Non
Fixe
Le temps
Dans l’instant de plénitude
Tu n’es plus ni vivant ni mort
Mais une entité
Déployée par le son
Un arrêt sur image partagé
Avec celui qui l’a créé
Une plénitude de nostalgie
Qui relance la vie
Tu aurais aimé connaitre
L’extase du compositeur
Cherche celle du gribouilleur
GDB Toahotu
Vendredi 4 janvier 2013 11h avec Beethoven concerto en ré majeur